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Ce jour là vêtue d'une petite robe légére, j'explorais des endroits inconnus,curieuse mais à la fois craintive de ce que je pouvais reconnaîter. Je finis par attérir dans un club étranger, où une femme cherchait en vain à attirer des hommes pour la regarder danser sur une barre de danse.
Je ressemblais à une étrangère dans ses lieux, un peu comme une fille de campagne qui débarque dans une grande ville, perdue, appréhendant ce qu'elle ne connaîssait pas. N'osant pas vraiment bouger, j'attendais sagement,regardant les personnes passer devant moi en silence de crainte que l'on me remarque...
Alors que j'observais le monde tourner devant mes yeux, un homme étrange m'aborda, commençant à me parler d'une façon que je n'ai pas coutume, surtout au premier contact, me prennant pour une protestuée. Paniquer de cette attitude et ne sachant quoi faire, j'appela Monsieur Freddy à mon aide, et ce fut un grand soulagement quand il me rejoigna.
Il échangea quelques mots avec le malautrus qui m'en voulait à mes fesses, et nous quittâmes cet endroit effrayant à mes yeux à mon grand soulagement.
Me conduisant chez lui, il s'absenta quelque instant pour régler une affaire urgente, me disant de faire comme chez moi. Je me retourva donc seule, encore sous le choc des dires de l'autre homme, ne sachant pas trop quoi faire, m'assoir sur le canapé, rester debout... J'étais perdue, et je m'assis au sol, ne voyant que cette possiblité qui me vint à l'esprit...
Très vite Monsieur Freddy revint, étonné de me voir à terre, il me demanda ce que je faisais, répondant simplement à sa question par un " Je ne fais rien, je vous attendais Monsieur".
Monsieur Freddy avait du sentir que j'étais complèment apeurée et perdue, il s'installa dans un fauteuil, me tendant la main pour que je vienne dans ses bras, ce que je fis sans perdre de temps. Je ressentis un calme, un énorme réconfort, ma tête appuyer sur son épaule, fermant les yeux, calant ma respiration au même rythme que la sienne, je sentais mon coeur ralentir, rassurée par sa présence.
C'est alors que je réalisa que j'avais encore oublié de mettre un string pour sortir, le feu aux joues, je glissa ma jupe entre mes cuisses, pour ne pas salirer les beaux vêtements de Monsieur Freddy mais d'un autre côté, je sentais que j'en étais excitée qu'il s'en aperçoive. Tant bien que mal, je tirais la jupe un peu plus sur mes fesses, qui dans cette position en laisser une vue plus que dégagé sur mes fesses, me faisant rougir encore plus.
Mais en même temps, la honte de cet oublie m'envahit ne sachant pas quel serai sa réaction s'il remarquait la vue qui lui était offert... Ce mélange de honte et d'excitation de cette situation agrémenté d'inconnu, j'en avais la tête qui tournait légérement.
Monsieur Freddy remarqua mon trouble et put en constater la source, calmement, il me soma de me léver, me montrant deux pôteaux devant le fauteuil où l'on était. Il m'ordonna de m'installer au sol, fermant les yeux craintive et excitée en même temps du sort qu'il me réserve. Je pouvais sentir mon coeur s'accélérer de plus en plus,en entendant ses pas autour de moi, je dus me dévêtir à sa demande, c'est alors que j'entendis un bruit de métal, des chaînes, qu'il vint lier à mes poignets .
D'abord assise à genoux, il m'ordonna de me mettre en arrière, appuyée sur mes mains, les cuisses ouvertes lui offrant la vue de mon sexe qui commençait à devenir de plus en plus humide. Je commençais à perdre pied, troublée par sa présence qui avait un grand impacte sur moi, cette attirance que je sentais sans que je puisse la contrôler. Insconsciament ma langue passa sur mes lèvres, ayant toujours les cuisses grandes ouvertes, il me regardait, je sentais que cela m'excité de plus en plus, ses regards étaient comme des caresses sur mon sexe, me faisant frissonner de plaisir, je gémissais doucement.
Ses mots qui me disait me troublant encore plus, ce désir grandissant en moi, j'étais conquise par cet homme....